
« Soit, aux prix actuels, un investissement presque double d’une solution consistant à maintenir notre flotte purement thermique. Mais cette flotte laisse envisager une économie de 500 000 euros par an après le déploiement complet », a avancé Patrick Devedjian. Ce dernier prévoit donc un amortissement de ce surcoût sur sept à dix ans, soit au moment où il faudra penser à les changer. Les gains sont surtout dus au faible coût du « carburant » – une recharge électrique pour 120 km revient à 1,5 euro en heures creuses – et de l’entretien, plus limité que sur le thermique. « Nous formons nos équipes dans les ateliers qui seront à même de gérer les petites réparations », indique Pierre-Alain Roche. Ce programme comporte aussi l’installation de plus de 400 prises de recharge sur trente sites.
Conseil général des Hauts-de-Seine : la flotte passe à l’électrique
- Conseil général des Hauts-de-Seine : la flotte passe à l’électrique
- Un programme de 7,9 millions d’euros