
Dans dix ans, y aura-t-il encore des flottes dans les entreprises ?
La flotte reste avant tout un outil de travail : les entreprises ont besoin de transporter des personnes et des marchandises pour leur activité. Avec les VU et les VI, il n’y aura donc pas de réduction spécifique. Il en est de même pour les véhicules de service qui transportent les collaborateurs d’une entreprise vers ses clients. Mais ces véhicules sont facilement partageables dans un souci d’optimisation de leur utilisation. On peut aussi envisager un partage entre entreprises pour des utilitaires, un partage qui pourrait être facilité par les opérateurs de LLD.
Pourra-t-on...

Dans dix ans, y aura-t-il encore des flottes dans les entreprises ?
La flotte reste avant tout un outil de travail : les entreprises ont besoin de transporter des personnes et des marchandises pour leur activité. Avec les VU et les VI, il n’y aura donc pas de réduction spécifique. Il en est de même pour les véhicules de service qui transportent les collaborateurs d’une entreprise vers ses clients. Mais ces véhicules sont facilement partageables dans un souci d’optimisation de leur utilisation. On peut aussi envisager un partage entre entreprises pour des utilitaires, un partage qui pourrait être facilité par les opérateurs de LLD.
Pourra-t-on partager tous les véhicules ?
Les véhicules de fonction appartiennent à la rémunération des salariés, il est donc difficile de les partager ou de les tracer. Il restera des véhicules entre les mains d’un seul conducteur. Mais dans ce cadre, certains peuvent être intéressés par une capacité à se déplacer plutôt que par une voiture, par exemple sous la forme d’un crédit mobilité. Quoi qu’il en soit, le critère de choix d’un véhicule par l’entreprise reste bien de répondre au plus près à un besoin de déplacement.
Anticipez-vous d’autres évolutions ?
L’avenir appartient aussi aux services et à l’intégration de ces services. Une voiture doit être garée, lavée et entretenue, ce qui représente autant de contraintes pour l’utilisateur, contraintes que nous devons prendre en charge, voire parfois devancer. Ces services ont bien sûr un coût qui reculera avec leur industrialisation. Avec un constat : on a plus envie de recourir à une voiture d’entreprise si son usage n’impose pas de contrainte.