C’est le cas chez GDF Suez, selon une méthodologie propre au plan stratégique One For Value : la remise à plat lancée en 2013 et le montage des nouveaux accords font l’objet d’une validation par un « Category Board » où figurent différents dirigeants de business units. Et ce bureau s’assure ensuite de leur bonne application, ce qui confère un nouveau soutien à la démarche achats.
L’évolution est plus subtile chez Air Liquide où les achats Europe ont changé de statut au printemps 2013, accédant à celui de direction à part entière. Cela implique que les directeurs des achats des filiales en ont intégré les comités de direction et...
C’est le cas chez GDF Suez, selon une méthodologie propre au plan stratégique One For Value : la remise à plat lancée en 2013 et le montage des nouveaux accords font l’objet d’une validation par un « Category Board » où figurent différents dirigeants de business units. Et ce bureau s’assure ensuite de leur bonne application, ce qui confère un nouveau soutien à la démarche achats.
L’évolution est plus subtile chez Air Liquide où les achats Europe ont changé de statut au printemps 2013, accédant à celui de direction à part entière. Cela implique que les directeurs des achats des filiales en ont intégré les comités de direction et peuvent plaider pour une application plus ferme des accords montés et négociés en central. « C’est une évolution de notre mandat en interne que nous pouvons faire valoir auprès des loueurs et des constructeurs qui accueillent la chose plutôt positivement », assure Sabrina Sense, category manager en charge de la flotte au sein de la direction des achats.