« La LLD permet de proposer un catalogue de modèles tous conformes au niveau de sécurité et de qualité que nous exigeons », pointe Ghita Benmoussa. L’Oréal accorde, à titre d’exemple, une importance particulière au CO2 : l’ensemble des véhicules commandés sont choisis selon un plafond à respecter. Ainsi, la moyenne a baissé de 9 % entre 2012 et 2014, avec 108 g pour les véhicules commandés en 2014.
« La possibilité de décaissement progressif et les services des loueurs sont indéniablement les deux leviers qui ont fait peser la balance en faveur de la LLD. Nous souhaitons aussi un mode de gestion offrant la possibilité de prévoir les coûts en...
« La LLD permet de proposer un catalogue de modèles tous conformes au niveau de sécurité et de qualité que nous exigeons », pointe Ghita Benmoussa. L’Oréal accorde, à titre d’exemple, une importance particulière au CO2 : l’ensemble des véhicules commandés sont choisis selon un plafond à respecter. Ainsi, la moyenne a baissé de 9 % entre 2012 et 2014, avec 108 g pour les véhicules commandés en 2014.
« La possibilité de décaissement progressif et les services des loueurs sont indéniablement les deux leviers qui ont fait peser la balance en faveur de la LLD. Nous souhaitons aussi un mode de gestion offrant la possibilité de prévoir les coûts en amont, avec une vision complète du TCO. Mais certains coûts cachés subsistent dans le modèle LLD », souligne Ghita Benmoussa.
« Chaque pays a sa propre méthode de gestion. Mais nous tendons vers une dissociation de la gestion et de la méthode d’acquisition, avant de créer une convergence multi-pays auprès d’acteurs européens. Ceci pour mieux contrôler les coûts (prix, usage), tout en obtenant une qualité de service uniforme, une gestion optimisée et une meilleure visibilité sur la flotte », poursuivent les deux collaborateurs.
La LLD n’est donc pas un choix définitif : une réflexion autour des modèles d’acquisition est en cours. L’Oréal souhaiterait se tourner vers un modèle qui offrirait de garder la main sur le choix, la commande et l’achat des véhicules, tout en conservant le niveau de service d’un loueur longue durée. Ce qui implique notamment la gestion des pneus, de la maintenance et de l’entretien, et bien sûr la question de la restitution, de la revente, mais aussi de la relation avec les conducteurs.
LA FLOTTE DE L’ORÉAL EN CHIFFRES
Plus de 10 000 véhicules dans le monde dont un tiers en Europe, principalement en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et en Espagne. Plus de 1400 véhicules en France (55 % de véhicules commerciaux, 45 % de véhicules dirigeants)