Selon la forme qu’elles revêtent, elles sont également pertinentes pour qualifier l’accidentologie du parc, surtout lorsqu’elles émanent du courtier plus apte à fournir des informations qualitatives. Ainsi, une fréquence de bris de glace anormalement élevée est l’indice d’une conduite trop rapide et irrespectueuse des distances de sécurité.
Il est aussi possible d’identifier les entités les plus sinistrées, les types de sinistres les plus fréquents (avec tiers ou sans, choc arrière/changement de file), les conducteurs multi-sinistrés, etc. On est alors en position de mesurer les coûts avec précision (dommages assurés et franchise)...
Selon la forme qu’elles revêtent, elles sont également pertinentes pour qualifier l’accidentologie du parc, surtout lorsqu’elles émanent du courtier plus apte à fournir des informations qualitatives. Ainsi, une fréquence de bris de glace anormalement élevée est l’indice d’une conduite trop rapide et irrespectueuse des distances de sécurité.
Il est aussi possible d’identifier les entités les plus sinistrées, les types de sinistres les plus fréquents (avec tiers ou sans, choc arrière/changement de file), les conducteurs multi-sinistrés, etc. On est alors en position de mesurer les coûts avec précision (dommages assurés et franchise) et d’agir là où la sinistralité se manifeste le plus fréquemment.
La partie « assurée » ne représente qu’une portion de la sinistralité et il est intéressant d’externaliser la gestion de l’auto-assurance auprès du courtier ou d’une plate-forme dédiée. Cela permet de maintenir la fiction d’une assurance auprès du réseau de réparation, de garantir la maîtrise du dossier avec un contrôle du chiffrage par des techniciens ou des experts mais aussi de produire des statistiques (non communiquées à l’assureur) complétant celles de l’assurance. De cette façon, les coûts sont isolés puis qualifiés, pour être affectés de manière comptable, sans se trouver « perdus » dans des remboursements de frais aux collaborateurs.