
Bref rappel : en 2017, les immatriculations auprès des entreprises ont crû de 1,5 % par rapport à 2016, pour dépasser les 800 000 immatriculations. Les ventes de VUL ont pour leur part progressé de 3,8 % à 334 696 unités, alors que celles de VP sont restées stables à – 0,03 %, soit 462 132 unités (voir l’article).
Essence ou diesel ?
Du côté des motorisations, le diesel a sans surprise conservé sa première place avec une part de marché en entreprise de 81,92 %, et des immatriculations en hausse de 2,2 % à 51 876 unités (VP + VUL). En gazole, les immatriculations de VP diesel ont affiché + 3,9 % à 27 560 unités le mois dernier, celles de VUL sont demeurées sont stables à + 0,4 % et 24 316 unités.
De son côté, l’essence continue de s’imposer peu à peu au sein des flottes, avec une hausse de 62,6 % des immatriculations (VP + VUL), soit 8 193 unités et une part de marché de 12,94 %. « Sur le seul segment des VP, l’essence s’établit juste en dessous de 20 %, à 19,82 % précisément (7 465 unités). Il faut remonter à mai 2017 pour trouver une part de marché aussi élevée de l’essence dans les entreprises (20,3 %, avec à l’époque 7 889 VP immatriculés) », précise l’OVE.
L’électrique et l’hybride progressent
Toujours en progression mais sur un périmètre bien plus restreint, les immatriculations de véhicules électriques ont bondi de 28,8 % en janvier (VP + VUL) à 859 unités, soit une part de marché de 1,36 %. Un point à souligner : les VP électriques ont vu leurs immatriculations reculer de 13,1 % à 353 unités, alors que les VUL ont doublé les leurs à 506 unités. Enfin, les hybrides VP + VUL ont affiché + 67,2 % à 2 314 unités, pour une part de marché de 3,65 %. « Les immatriculations d’hybrides rechargeables s’inscrivent en nette croissance (+ 80,5 %) mais ne représentent que 509 véhicules », conclut l’OVE.