Un métier fortement influencé par internet : aujourd’hui, le loueur réalise 65 % de son activité VO en ligne. « Internet a l’avantage de nous donner des curseurs supplémentaires, des informations qui permettent d’avoir la bonne base clients pour la bonne vente. Cela modernise l’approche et le marché va continuer à être impacté par le basculement du VO sur internet. Nous sentons actuellement des tensions : les opérateurs avec des frais de structure importants dus aux traditionnelles salles de vente vont devoir réajuster leur modèle« , détaille le responsable.Le remarketing des VO évolue également grâce à une expertise qui se fait...
Un métier fortement influencé par internet : aujourd’hui, le loueur réalise 65 % de son activité VO en ligne. « Internet a l’avantage de nous donner des curseurs supplémentaires, des informations qui permettent d’avoir la bonne base clients pour la bonne vente. Cela modernise l’approche et le marché va continuer à être impacté par le basculement du VO sur internet. Nous sentons actuellement des tensions : les opérateurs avec des frais de structure importants dus aux traditionnelles salles de vente vont devoir réajuster leur modèle« , détaille le responsable.Le remarketing des VO évolue également grâce à une expertise qui se fait toujours plus pointue et qui fonctionne bien. « Dans la mesure où l’on ne reconditionne pas les véhicules, il faut une expertise irréprochable« , note Thibaut Carpentier. Avec à la clé des photos en plus haute définition, des réglettes plus précises pour mesurer l’impact d’un dommage, la longueur et la taille d’une bosse ou d’une rayure, etc.
« Nous ne réparons pas, seuls les petits acteurs peuvent procéder ainsi alors que nous vendons environ 200 VO par jour en moyenne. Il y a du reste une clientèle à la recherche de “low cost” et l’on doit savoir vendre des véhicules avec des bosses. Cela étant, nous réparons quand la demande nous est faite », conclut le responsable.