Or, la question de la restitution dans le cadre des contrats de location longue durée reste justement un élément délicat et difficile à gérer. Il faut de fait avoir les outils adéquats afin de collecter l’information au point où a été restitué le véhicule et la tracer correctement.
« Aujourd’hui encore, la gestion de la restitution n’est satisfaisante pour personne. Y compris pour les gestionnaires de flotte : s’ils ne s’occupent pas de savoir ce qu’il advient des véhicules, ils demandent de plus en plus une clarté dans le travail des loueurs sur la restitution. Il faut donc une lecture homogène pour tout le monde. Cela suppose...
Or, la question de la restitution dans le cadre des contrats de location longue durée reste justement un élément délicat et difficile à gérer. Il faut de fait avoir les outils adéquats afin de collecter l’information au point où a été restitué le véhicule et la tracer correctement.
« Aujourd’hui encore, la gestion de la restitution n’est satisfaisante pour personne. Y compris pour les gestionnaires de flotte : s’ils ne s’occupent pas de savoir ce qu’il advient des véhicules, ils demandent de plus en plus une clarté dans le travail des loueurs sur la restitution. Il faut donc une lecture homogène pour tout le monde. Cela suppose l’industrialisation d’un processus par définition unitaire puisqu’il faut suivre la restitution modèle par modèle », détaille Xavier Diry.Un objectif que seule l’informatique permet d’atteindre. « Nous avons d’une équipe de 80 personnes pour faire évoluer notre système de gestion de restitution Starfleet, et sommes désormais capables de limiter à cinq jours le délai entre la restitution et la revente des véhicules, là où beaucoup ont encore besoin de plus de vingt jours », argumente Xavier Diry.