Y compris lorsque les systèmes du véhicule ne peuvent repérer un éventuel danger, comme lors d’un accident situé après un virage, hors de portée des radars embarqués du véhicule suiveur.
Ces systèmes constituent aussi un moyen pour fluidifier le trafic et optimiser l’éco-conduite, en intégrant au mieux les informations sur la circulation, les feux, les travaux, etc. Avec à la clé, grâce à ces systèmes de transport intelligents (ITS pour l’acronyme anglais), un recul de l’accidentologie, des économies très importantes, mais aussi beaucoup moins d’émissions de CO2. Plus avant encore, ces systèmes se posent en condition sine qua non pour autoriser...
Y compris lorsque les systèmes du véhicule ne peuvent repérer un éventuel danger, comme lors d’un accident situé après un virage, hors de portée des radars embarqués du véhicule suiveur.
Ces systèmes constituent aussi un moyen pour fluidifier le trafic et optimiser l’éco-conduite, en intégrant au mieux les informations sur la circulation, les feux, les travaux, etc. Avec à la clé, grâce à ces systèmes de transport intelligents (ITS pour l’acronyme anglais), un recul de l’accidentologie, des économies très importantes, mais aussi beaucoup moins d’émissions de CO2. Plus avant encore, ces systèmes se posent en condition sine qua non pour autoriser le développement de la voiture autonome. Plusieurs constructeurs se sont déjà penchés sur la question, notamment Mercedes ou Ford qui développent une solution intermédiaire basée sur la communication en 4G. Un test grandeur nature se met en place sur une vaste zone située entre Rotterdam et Vienne, alors qu’aux États-Unis, une immense zone de test a été établie dans le Michigan, tandis qu’un programme de recherche européen (nommé CVIS) se charge de standardiser les modes de communication.