
Citroën
L’année du Jumpy
Selon les responsables de la marque aux chevrons, « 2016 a été une belle année pour les VUL avec 62 000 commandes contre 56 000 en 2015, et une part de marché de 15,2 %. Avec aussi une évolution au profit des petites flottes alors que Citroën était historiquement très implanté auprès des grands comptes, avec une part de marché de 25 %. »

La marque a profité des ventes du nouveau Jumpy, en hausse de 20 % sur l’année pour près de 11 000 modèles écoulés, avec des commandes en progression chaque mois et un portefeuille supérieur à 10 000 unités en fin d’année. De leur côté, les Berlingo et Jumper ont maintenu...
Citroën
L’année du Jumpy
Selon les responsables de la marque aux chevrons, « 2016 a été une belle année pour les VUL avec 62 000 commandes contre 56 000 en 2015, et une part de marché de 15,2 %. Avec aussi une évolution au profit des petites flottes alors que Citroën était historiquement très implanté auprès des grands comptes, avec une part de marché de 25 %. »

La marque a profité des ventes du nouveau Jumpy, en hausse de 20 % sur l’année pour près de 11 000 modèles écoulés, avec des commandes en progression chaque mois et un portefeuille supérieur à 10 000 unités en fin d’année. De leur côté, les Berlingo et Jumper ont maintenu leurs parts de marché. 2016 a aussi enregistré une croissance des immatriculations de VUL électriques : les ventes de Berlingo Electric ont été multipliées par 2,5.
« En 2017, l’objectif est de renforcer notre part de marché à 17 %, soit 68 000 VUL, grâce notamment à la première année pleine du dernier Jumpy. Citroën vise le deuxième rang du segment avec 15 000 livraisons et mise pour cela sur l’introduction de versions dans la gamme : XL et plancher-cabine. Depuis le début 2017, les objectifs sont tenus », expliquent les responsables.
La C3 en VP/VU réversible
Ce Jumpy offre aussi l’opportunité de reprendre une place significative sur des marchés comme celui des ambulances, où la précédente génération était peu présente. La marque compte aussi sur la nouvelle C3 et sa déclinaison VU lancée en décembre dernier, en misant sur sa valeur résiduelle. « Avec une version réversible, par exemple au retour d’une LLD, le véhicule peut redevenir un VP et bénéficie de la valeur de revente de ce dernier. Notre objectif : prendre la deuxième place de ce segment avec plus de 13 000 livraisons », avancent les responsables de la marque.
Fiat Professional France
Le Ducato tient la corde
« Le marché 2016, avec près de 416 000 immatriculations, a connu une hausse de 8,9 %. Sur ce marché, Fiat Professional a crû de 14 %. Ce sont les pick-up qui ont connu la plus forte augmentation. De plus en plus d’acteurs, dont Fiat, se sont intéressés ou vont s’intéresser à ce segment qui devrait logiquement poursuivre sur sa lancée en 2017 », constate Yves Le Comte, directeur marketing de Fiat Professional France. Le segment des fourgons compacts a aussi bénéficié d’une forte croissance en 2016 – le Talento participant et profitant de cette dynamique.

« Sur le début 2017, nous retrouvons cette dynamique sur ces deux segments. Néanmoins, il faut rester méfiant vis-à-vis du risque d’attentisme lié aux élections présidentielles », prévient Yves Le Comte. Du côté du Ducato, le « costaud » de la gamme, le directeur marketing se veut confiant : « Le Ducato est toujours apprécié et le fait que nous soyons en Euro 6 sans Adblue constitue un plus. Les versions carrossées ont progressé de plus de 44 % en 2016, prouvant l’implication de la marque et du réseau dans ces ventes. » Pour Yves Le Comte, le marché devrait poursuivre sa croissance en 2017, entre autres grâce au segment des fourgons compacts, toujours très dynamique et porté par l’arrivée de nouveaux modèles.
Ford
Des VUL hybrides rechargeables
En 2016, Ford a immatriculé 26 500 unités en France, en hausse de 12 % sur un marché à + 9 %. Ford a notamment bénéficié des performances du Ranger sur le marché des pick-up. « En 2017, nous profiterons en année pleine de la finition Sport sur toute la gamme de VU, de la boîte de vitesses automatique sur les Transit Connect, Transit Custom et Transit 2 T, et d’une transmission 4X4 sur le 2 T. Nous avons aussi récemment étendu la gamme du Ranger SuperCab », énumère Hervé Rollet, le nouveau directeur VU de Ford France.
Ford poursuit son travail sur les coûts de détention de ses VUL et va lancer cette année un projet pilote au Royaume-Uni, avec le déploiement de vingt Transit Custom hybrides rechargeables dans le cadre d’un projet d’amélioration de la qualité de l’air mené à Londres. Ford mettra aussi l’accent sur les VUL transformés. « Nous avons déjà développé toute une offre de produits avec différents carrossiers : ambulances, camping-cars, bennes, plateaux, frigos, etc. Nous avons identifié une marge de progression à ce niveau », détaille Hervé Rollet.
Enfin, Ford France continue de mettre en place son réseau de Transit Centers. « Nous en avons 68 répartis autour des grandes agglomérations, avec un potentiel d’activité significatif sur le marché des utilitaires », conclut le directeur VUL de la marque.
Fuso
Le Canter sous toutes ses formes
2016 a été une excellente année pour Fuso : même si l’axe de développement des ventes a porté sur les versions PL, le Canter 3,5 t a très bien tenu sur son marché. La politique autour des véhicules carrossés, lancée en 2014, a aussi porté ses fruits. La marque de Daimler a ainsi développé des Canter aux carrosseries encore jamais vues : nacelle, hydrocureuse, dépanneuse, BOM.
Pour 2017, l’ambition est de parvenir à 600 Canter immatriculés. La gamme « classique » devrait rester stable mais la fin d’année verra l’apparition d’un eCanter 100 % électrique de 3,5 t, en complément de la version hybride de 7,5 t déjà présente.
Gruau
2017, année électrique
Selon Patrick Gruau, dirigeant de la société éponyme, « le marché 2016 a été une heureuse surprise avec une progression d’environ 8 % là où le BIPE ne prévoyait que 4 %. Le retour à un niveau de ventes aussi important s’explique en partie par l’application de la norme Euro 6 mais, aussi et surtout, par l’augmentation de l’activité de la LLD, suite à un effet de rattrapage et de renouvellement des flottes. Toutefois, le secteur des travaux publics reste à l’arrêt. »

« Pour Gruau, l’année 2016 a été exceptionnelle avec 218 millions d’euros de chiffre d’affaires, reprend Patrick Gruau. Nous prévoyons de poursuivre cette croissance en 2017 et d’atteindre 300 millions, soit + 40 %. Cela grâce aux investissements passés, au démarrage des ventes de l’Electron II, au rachat du carrossier italien Onnicar ou aux marchés export comme des ambulances pour l’Iran ou l’Angola. Nous travaillons aussi à l’avenir du site de Laval pour le préparer aux dix prochaines années. »
Gruau est en train de livrer les premiers Electron II, le VUL 100 % électrique développé par le carrossier-constructeur. « Nous le faisons essayer à tous les clients. Les utilisateurs ont besoin de tester les véhicules électriques pour se rassurer. Il faut convaincre les équipes de la pertinence du produit et rompre l’inertie liée aux innovations de rupture comme celles-ci », argumente Patrick Gruau.
Iveco
Le Daily encore et toujours
Chez Iveco, c’est Amaury Bouchet, responsable de la gamme Light Iveco France, qui livre son analyse : « Le marché des 3,5 à 6 t est passé de 74 000 à 80 000 unités de 2015 à 2016, soit + 8,2 %. Sur ce total, Iveco a commercialisé 13 645 modèles, soit + 18,2 %, avec une part de marché de 17,1 % contre 15,6 % en 2015. Sur les châssis-roues jumelées, nous avons réalisé 45 % de part de marché. »
Pour 2017, ce responsable veut continuer de développer les ventes du Daily Hi-Matic, une version à boîte automatique qui a pesé 13 % des ventes en 2016. Iveco s’appuie aussi sur les versions châssis-cabine en roues simples, soit 30 % du marché des châssis-cabines, en progression de 25 % en 2016.
La gamme du Daily s’est enrichie d’une version à empattement de 5 100 mm. Côté véhicules « propres », Iveco, spécialiste des modèles au gaz, parie sur un nouveau Daily Electric testé en conditions d’exploitation réelles chez des clients fin 2016. Ses trois batteries 100 % recyclables offrent une autonomie de 280 km (NEDC).
Le constructeur mise aussi sur le renforcement de l’offre Order & Drive de véhicules carrossés. Pour sa part, le réseau compte 210 points de service utilitaires et poids lourds dont 40 équipés d’un atelier spécifique à l’utilitaire Daily Chrono Services. Enfin, Iveco met en avant l’offre de véhicule connecté Daily Business Up, application qui inclut éco-conduite, suivi de la maintenance, téléphone ou GPS.
Mercedes
Le Sprinter se démultiplie
L’année 2016 s’est bien passée pour Mercedes-Benz Vans avec 21 951 immatriculations (+ 8,3 %) – 2015 s’étant close sur le chiffre de 20 270 unités, en hausse de 9 % par rapport à 2014. « À l’image des résultats internationaux (+ 12 %), le Sprinter est resté le modèle le plus diffusé dans l’Hexagone avec 10 391 exemplaires – un niveau étale par rapport à 2015 pour un véhicule renouvelé l’an prochain. Le Vito a, lui, accru sa présence avec 7 762 immatriculations contre 6 755 en 2015 (+ 15 %). Enfin, les Classe V ont bondi de 28 % à 1 823 unités. Quant au Citan, il a progressé de 16 % à 1 975 unités contre 1 704 un an plus tôt », décrit Gautier Marere, directeur marketing de la marque.

Environ la moitié des Sprinter neufs vendus reçoivent un aménagement ou une superstructure réalisés par une carrosserie spécialisée. Ce taux de transformation atteint 25 % avec le Vito et 20 % avec le Citan. Le programme VanPartner intègre des carrossiers-partenaires contrôlés et certifiés, dont dix français : Lamberet, Gruau, Cabreta, JPM, Cavime, Toutain, ECP, Klubb France, Ancy Groupe et Renault Tech.
Dans un marché tout aussi dynamique, Mercedes-Benz Vans vise une croissance à deux chiffres en 2017. En fin d’année, le constructeur proposera le pick-up Classe X, vendu dans les réseaux utilitaires légers et VP. À noter que ce réseau compte 104 points de vente et 214 points de service.
Nissan
Une gamme complète
Nissan aligne une large gamme d’utilitaires avec ses NV200, eNV200, NV300 et 400, NT400 et 500. L’ensemble de la gamme est récent et profite surtout d’une garantie 5 ans ou 160 000 km.

Élément important : les NV300 et NV400 sont des Renault Trafic et Master modifiés esthétiquement. Quant aux NT400 et NT500, il s’agit de vrais camions, dotés d’un solide châssis et d’une cabine avancée, et qui peuvent se conduire avec un permis B. Nissan propose aussi l’eNV200, version 100 % électrique de la fourgonnette de la marque basée sur la plate-forme « technique » de la berline compacte électrique Leaf. Sans oublier le Navara, une des références du secteur des pick-up 1 t, un segment de marché appelé à se développer dans les années à venir en France
Opel
Le Vivaro au rendez-vous
D’après Opel, le marché des entreprises a fortement progressé en 2016, tant en VP qu’en VU : « Sur les VU, nous avons noté une hausse sur l’ensemble des segments, majoritairement poussée par les fourgons légers (segment Vivaro) avec + 14,5 %, et les fourgons (Movano) avec + 11 %. »
Pour Opel, la croissance en volume a été portée par les segments Combo (+ 35 % par rapport à 2015) et Movano avec 25 % de volume en plus. « Ces véhicules ont trouvé leur cible grâce à une forte activation du réseau comme des équipes entreprises centrales. » A contrario, le manque de disponibilité de Vivaro au premier semestre 2016 a eu comme conséquence des volumes sensiblement équivalents à ceux de 2015 (3 400 unités contre 3 500 en 2015).
La marque ambitionne d’améliorer ses performances en 2017 notamment grâce à une pleine disponibilité du Vivaro, et vise 2 000 unités supplémentaires en VU. Opel bénéficiera aussi, en année pleine, de la version Affaires de l’Astra Sports Tourer et d’une version Premium en transport de personnes sur la base du Vivaro, livrable fin 2017.
L’accent sur les véhicules carrossés
Les véhicules carrossés représentent un axe de développement : « Les capacités du réseau vont encore s’améliorer de par sa montée en compétence, tant sur les véhicules frigos que les bennes ou les caisses grands volumes », affirme-t-on chez Opel. Pour les VUL « propres », Opel compte toujours sur le Combo GNV.
Le réseau VUL Opel comporte 150 points de vente dont 97 sites Opel Entreprises. Ces derniers garantissent à la fois une disponibilité immédiate en véhicules neufs, y compris carrossés, des interlocuteurs uniques en vente et après-vente, mais aussi des forfaits entretien pour les VU. « Nous y ajoutons l’offre de mobilité Opel Rent qui fait partie des standards obligatoires du programme pour les centres. L’ambition est d’étendre à 105 le nombre de sites Opel Entreprises d’ici fin 2017. »
Peugeot
La carte de l’Expert
« En 2016, Peugeot s’est classé en deuxième marque du marché, avec une part de marché de 16,04 % et une croissance de + 0,3 point, soit un peu plus de 64 000 immatriculations. Nous avons progressé de 10 % en immatriculations avec 6 000 véhicules en plus », se réjouit Hugues de Laage de Meux, directeur de Peugeot Professionnel.

2016 aura été l’année du lancement du nouvel Expert. « Tous les mois, nous doublons les commandes par rapport à l’ancienne version, et nous avons doublé la part de marché avec un peu plus de 4 %. » Les autres modèles, en particulier les Partner et Boxer, n’ont pas été en reste avec une part de marché de 5 % et 2,5 %. Les ventes du Partner Electric ont été multipliées par quatre à près de 450 immatriculations, avec 90 % de ces ventes aux artisans et PME-PMI.
Avec environ 10 % des volumes, les véhicules transformés constituent un axe stratégique. La gamme Utility comprend six catégories de transformations « prêts à partir » réalisées par des carrossiers partenaires avec lesquels Peugeot a bâti une offre packagée.
L’Expert se transforme
« L’intérêt est d’anticiper la demande afin de réduire les délais de livraison pour une clientèle pressée d’obtenir le véhicule transformé. L’arrivée du dernier Expert ouvre des horizons sur des transformations telles que les ambulances, les véhicules de loisirs et les TPMR », expose le responsable.
Pour 2017, ce dernier a pour ambition de conserver la deuxième place du marché et vise une croissance de 10 % des immatriculations. Pour cela, Peugeot compte sur la gamme Expert qui va s’enrichir de la version cabine approfondie et des versions longues, mais aussi sur la poursuite de la montée en compétence des forces de vente dans le VU, entre autres à destination des loueurs.
Peugeot souhaite aussi développer une offre de mobilité pour les VU à travers le label Peugeot Rent, et l’étendre aux véhicules transformés. 2017 devrait aussi voir le développement de l’offre de services connectés sur les VU avec l’entité du groupe PSA Free2Move Lease.
« L’ensemble du réseau doit vendre des VU ; nous avons 90 Peugeot Professionnel Centers qui respectent l’engagement d’exposer la gamme de véhicules utilitaires et transformés. Nous avons aussi pour projet de désigner un référent VU dans chaque point de vente “PPC“ comme relais des ventes de VU auprès des autres commerciaux. »
Renault
Le Master en mode électrique
La marque au losange est et reste le leader des VUL en France depuis des années, de par sa gamme de produits et ses structures commerciales, aussi bien auprès des grands comptes que des artisans.

Concernant la gamme, pas de grande révolution ces derniers mois si ce n’est l’apparition d’une version 100 % électrique du Master, le Master Z.E. Cette version du plus gros des utilitaires Renault dispose d’une batterie lithium-ion de 33 kWh, avec à la clé 200 km d’autonomie (NEDC). Le moteur est celui de la Zoé et affiche seulement 76 ch. Quant à la vitesse maxi, elle est annoncée à 115 km/h. Le Master Z.E. sera proposé en fourgon ainsi qu’en plancher-cabine.
2017 sera aussi l’année du lancement du pick-up Alaskan, étroitement dérivé de son cousin le Nissan Navara. Le lancement d’un tel modèle par Renault devrait dynamiser ce segment de marché dans l’Hexagone.
Toyota
Année pleine pour le Proace
Selon les responsables de Toyota, le marché français des VUL a progressé de 8 % en 2016 : fourgons + 10 %, fourgons légers + 13 %, pick-up + 32 %. Le segment des fourgons compacts a été très dynamique avec de nombreux lancements dont le Proace (+ 15 %).

Du côté du Hilux, les ventes ont augmenté de 23 % à compter du lancement en juin dernier. Pour les dérivés VP du segment B, la Yaris a affiché + 18 % avec l’introduction d’une version Affaires sur le marché. À noter que la Yaris est le seul véhicule société existant en hybride, essence, diesel.
Pour 2017, Toyota espère profiter de l’année pleine pour les Proace (2 000 immatriculations) et Hilux (4 200 immatriculations). La gamme du Proace vient de s’enrichir de nouveaux moteurs en fourgon tôlé et cabine approfondie, et d’une version plancher-cabine qui étoffe l’offre de modèles « carrossés ». « Nous travaillons avec différents carrossiers et sommes capables de répondre à l’ensemble des demandes pour les Proace et Hilux », souligne-t-on chez Toyota.
Le réseau comprend 124 Business Centers et 40 Fleet Centers. Les Fleet Centers rassemblent des vendeurs entreprises aux compétences renforcées. Enfin, un stock important de VUL est exposé et disponible à la vente, et une flotte de véhicules de courtoisie répond aux besoins de mobilité des professionnels.
Volkswagen Utilitaires
Le Crafter en vedette
Avec 19 294 livraisons en 2016, VW VU France a progressé de + 18,9 % par rapport à 2014, son précédent record. Un résultat appuyé par la performance du nouveau Transporter avec 9 599 livraisons, soit + 36,0 % par rapport à 2014.

La marque a franchi un seuil avec 20 686 commandes en 2016, soit + 25,4 % comparé à 2015, année du précédent record. Avec 10 185 commandes (+ 37,3 %), le Transporter reste le pilier. À noter le lancement du nouvel Amarok avec 1 301 commandes en 2016 (+ 21,9 %).
Pour 2017, le constructeur veut poursuivre sur cette dynamique et livrer 20 500 véhicules sur un marché estimé en légère hausse à 377 000 immatriculations. « La gamme du récent Crafter sera lancée avec une nouveauté pour nous, à savoir les versions traction (70 % de ce segment) avant les versions propulsion, 4Motion et boîtes automatiques », énumère Kérim Bournonville, directeur de VW VU France. Mais l’essor du Crafter aura lieu en 2018 avec une pleine disponibilité des versions.
« En 2017, nous tablons sur 3 400 livraisons de Crafter dont 2 730 de dernière génération. Ce lancement va entraîner une montée en puissance importante des ventes de modèles carrossés. » VW VU mise sur une gamme étendue de versions (traction, propulsion, etc.), sur une double offre « véhicules carrossés d’usine » pour des versions simples (caisses grand volume, bennes, cabines approfondies, etc.), mais aussi sur une collaboration plus étendue avec les carrossiers en local.