Pour mémoire, un VAE est un vélo muni d’un moteur électrique auxiliaire, avec trois critères principaux : le moteur ne peut dépasser une puissance nominale maximale de 250 watts ; il ne doit s’enclencher qu’en support lorsque le conducteur actionne les pédales ; il doit se couper avant de dépasser les 25 km/h. Il existe aussi des modèles qui se conduisent comme des vélomoteurs (accélérateur à poignée et vitesse de 45 km/h) mais qui doivent donc être assurés comme des cyclomoteurs, conduits avec un casque et sans accès aux pistes cyclables.
Une offre pléthorique de vélos électriques
Entre les constructeurs de cycles classiques...
Pour mémoire, un VAE est un vélo muni d’un moteur électrique auxiliaire, avec trois critères principaux : le moteur ne peut dépasser une puissance nominale maximale de 250 watts ; il ne doit s’enclencher qu’en support lorsque le conducteur actionne les pédales ; il doit se couper avant de dépasser les 25 km/h. Il existe aussi des modèles qui se conduisent comme des vélomoteurs (accélérateur à poignée et vitesse de 45 km/h) mais qui doivent donc être assurés comme des cyclomoteurs, conduits avec un casque et sans accès aux pistes cyclables.
Une offre pléthorique de vélos électriques
Entre les constructeurs de cycles classiques convertis à l’électrique et les constructeurs spécifiques, difficile de faire un état des lieux de ce marché des VAE en pleine expansion. De manière générale, les constructeurs assemblent des véhicules plus ou moins originaux selon les cas, mais majoritairement entraînés par des moteurs électriques provenant d’une poignée de fabricants. Par exemple, Bosch fournit de nombreux constructeurs avec son moteur placé sous le bloc du pédalier pour un meilleur équilibre. Avec l’élargissement des gammes, les vélos électriques se subdivisent en différentes catégories, comme les vélos classiques : urbains, pliants, VTT, etc.
Une bonne illustration de reconversion vers l’électrique reste la marque Solex qui décline son produit phare en deux modèles de VAE. Le Velosolex est un modèle pliable qui affiche un poids de 22 kg, batterie comprise, avec 6 vitesses et une fourche télescopique. Quant au Solexity, il s’agit d’un modèle plus classique, toujours dessiné par le studio italien Pininfarina, avec des roues de 26 pouces et 8 vitesses. Compter respectivement, pour ces VAE, 1 450 et 1 995 euros.
Autre marque qui décline son concept dans le domaine des VAE, smart s’est appliqué pour lancer un produit innovant et très design. Le moteur de cet ebike est intégré dans la roue arrière, la transmission se fait par courroie. Un vélo high tech qui se paie au prix fort : 2 900 euros dans le réseau smart.
Matra offre une gamme étendue dont un modèle qui a la particularité de bénéficier d’une transmission automatique à 7 rapports, le TX AGT. Ce vélo de ville intègre son moteur électrique dans la roue avant et sa batterie amovible doit être chargée 7 heures pour une autonomie moyenne de 65 km.
VAE, les constructeurs font leurs gammes
Chez Peugeot, sept modèles composent la gamme classique de VAE, pour des tarifs de 1 499 à 2 999 euros. Pour sa part, Gitane débute sa gamme dès 1 199 euros avec l’Organ e-bike doté d’un moteur de 37 volts dans la roue avant et d’une batterie en position classique sous le porte-bagages.
Original et élégant, un constructeur français dénommé Moustache Bikes – du fait de la forme des guidons de ses modèles – propose des VAE performants comme le Lundi 26, avec moteur Bosch et pneus ballons, pour 2 399 euros.
