
Tous les prix sont indiqués en euros HT avec la mention des chevaux fiscaux (CV) pour calculer le tarif de la taxe sur les certificats d’immatriculation des véhicules (carte grise).
La marque au losange a aussi en catalogue une version « Réversible » VUL 2 places avec l’ensemble des motorisations essence et diesel. La nouvelle Clio sera lancée à l’été prochain mais les versions Société de la génération actuelle sont toujours au catalogue jusqu’à fin 2019 (4,06 m de long, 1 146 l de coffre).
En version Clio Société Générique, deux motorisations de 75 ch sont proposées avec le 1.0 TCe essence à 12 000 euros (4 CV), et le 1.5 dCi à 13 900 euros...
Tous les prix sont indiqués en euros HT avec la mention des chevaux fiscaux (CV) pour calculer le tarif de la taxe sur les certificats d’immatriculation des véhicules (carte grise).
La marque au losange a aussi en catalogue une version « Réversible » VUL 2 places avec l’ensemble des motorisations essence et diesel. La nouvelle Clio sera lancée à l’été prochain mais les versions Société de la génération actuelle sont toujours au catalogue jusqu’à fin 2019 (4,06 m de long, 1 146 l de coffre).
En version Clio Société Générique, deux motorisations de 75 ch sont proposées avec le 1.0 TCe essence à 12 000 euros (4 CV), et le 1.5 dCi à 13 900 euros (5 CV). La finition Air reprend ces deux motorisations avec les mêmes puissances fiscales pour un prix augmenté de 900 euros ; et elle y ajoute le 1.5 dCi en 90 ch à 15 800 euros (5 CV).
La reine Clio
Enfin, la finition MédiaNav n’est déclinée qu’avec le 1.5 dCi en 75 ou 90 ch pour respectivement 15 600 et 16 000 euros. Notez que la cloison grillagée complète est facturée 200 euros ; la Clio est livrée avec un plancher et un arrêt de charge, soit le « minimum » requis par l’administration fiscale.
Renault soigne aussi sa clientèle professionnelle grâce à ses versions Clio Société Réversible basées sur les finitions Zen ou Business. Cela permet par exemple d’accéder au récent 3-cylindres essence du 0.9 TCe de 90 ch et 5 CV, plus sobre, plus puissant et plus polyvalent que le 1.0 TCe de 75 ch, mais pour un prix plus élevé de 15 966,67 euros en Zen Réversible. En Business Réversible, le prix passe à 16 300 euros pour cette motorisation alors que la version TCe de 75 ch et 4 CV est à 15 466 euros.
En diesel, on retrouve le 1.5 dCi en 75 ch et 4 CV en Zen Réversible (17 133,33 euros) et Business Réversible (17 466,67 euros), ainsi qu’en 90 ch et 5 CV à respectivement 18 050 et 18 383,33 euros. La version boîte double embrayage EDC est disponible sur ce 1.5 dCi de 90 ch et 5 CV mais uniquement en Business Réversible, moyennant un prix assez élevé de 19 966,67 euros.
Éternelle concurrente, la Peugeot 208 (3,97 m de long) sera elle aussi remplacée en fin d’année par sa nouvelle version, plus grande de 9 cm mais pas beaucoup plus habitable – la 208 actuelle affichant 1,1 m3 de volume de chargement pour sa version VU 2 places.

La Clio et la 208 toujours en face-à-face
La transformation réversible « R » comprend le cache-bagages, le plancher bois avec tapis caoutchouc antidérapant et le stockage du kit VP de 12 à 60 mois (hors main-d’œuvre). Cette 208 « R » est basée sur la finition Active Business VP avec le 3-cylindres essence 1.2 PureTech de 82 ch et 4 CV à 15 950 euros, ou avec le plus puissant 1.5 BlueHDi de 100 ch et 5 CV à 18 250 euros.
Pour la plus classique version Affaire, Peugeot mise sur sa 208 en Premium à 12 650 euros avec le 82 ch essence, et à 14 950 euros avec le 100 ch diesel ou en finition Premium Pack pour 1 000 euros supplémentaires. Il faudra alors y ajouter le cas échéant la grille de séparation à 200 euros. Ces gammes Affaire et Réversible seront reproduites sur la 208 dévoilée à Genève début mars.
Enfin, un kit Novetud existe pour cette 208 moyennant 685,98 euros hors pose et hors cache-bagages (182,31 euros) ; il faudra y ajouter le stockage de 24 mois au minimum à 306,98 euros.

La Citroën C3 joue l’alternative
Troisième star des versions sociétés en France, la Citroën C3 (4 m de long) concurrence sa cousine du lion et son ennemie au losange. Depuis un peu plus de deux ans, elle mise tout sur son nouveau style aguicheur et son agrément de conduite. D’ailleurs, en raison de ce design tout en rondeurs, son coffre affiche tout juste 922 l – ce n’est pas excellent. Il n’en reste pas moins que cette C3 s’équipe de deux moteurs essence et d’un diesel – c’est très bien.
Pour le diesel, il s’agit du récent 1.5 BlueHDi de 100 ch et 5 CV à 14 975 euros en Feel et 16 025 euros en Feel Nav, soit un bon positionnement prix. Pour la C3 Société fonctionnant au super, on retrouve le 3-cylindres 1.2 en 68 ch et 4 CV en accès à la gamme Live pour 10 750 euros ou 11 750 euros en finition Feel. Sa version 82 ch sera plus polyvalente à 12 475 euros en Feel et 13 525 euros en Feel Nav.
Tout comme la 208, Citroën met en avant une C3 Société en Business « R » comme réversible, avec des conditions et des équipements identiques : stockage de 12 à 60 mois et bac thermoformé sur le plancher avec une tablette arrière cache-bagages (hors main-d’œuvre). Et avec deux moteurs : le 82 ch essence à 15 375 euros (4 CV) et le 100 ch diesel à 17 875 euros (5 CV).

Business « R » comme réversible
Citroën aligne aussi dans son catalogue des kits de transformation VP en VU pour toute sa gamme C3 avec un bac plastique facturé 604 euros (hors pose), auxquels il faut ajouter 47,88 euros pour les cales sous le plancher, sans oublier le stockage de la banquette arrière facturé 239,17 euros au minimum pour 24 mois. Ajoutez-y le prix et la démarche pour la transformation dans les deux sens VP/VU, et il est sûrement plus judicieux de choisir directement la C3 « R » déjà transformée et homologuée.
En revanche, c’est la seule solution offerte par Citroën pour passer sa petite C1 (3,47 m de long, coffre de 780 l) en VU, aucune version Société n’existant au catalogue. Le kit VP/VU est alors valable pour les 3 et 5 portes à 463 euros (hors main-d’œuvre) auxquels vous pourrez adjoindre un cache-bagages à 146 euros. Le stockage de la banquette arrière est facturé à partir de 239,17 euros pour 24 mois.
En motorisations, la C1 fabriquée par Toyota en République Tchèque fait cause commune avec l’Aygo et la 108, avec un seul moteur pour 2019 : le 3-cylindres 1.0 de 72 ch et 4 CV.
Chez Peugeot, cette 108 est transformable avec un kit VU de Novetud facturé 476,89 euros, hors cache-bagages à 150,38 uros, hors pose et hors frais de stockage du kit VP à 250,43 euros pour 24 mois minimum.
Chez Toyota justement, soulignons l’effort pour aligner au catalogue une gamme Affaires VU sur la Yaris (3,95 m de long, coffre de 730 l) 100 % « made in France » en essence mais aussi en hybride – c’est la seule de tout ce comparatif. Sur la base de la finition Business VP essence de 70 ch et 4 CV, cette Yaris Affaires Business est commercialisée à 14 470 euros.
La Yaris en Affaires VU et en hybride
Plus abordable, la Yaris Affaires fait l’impasse sur des équipements de confort comme la climatisation ou l’allumage automatique des feux pour un prix inférieur de 2 000 euros. La version 5 portes nécessite 500 euros supplémentaires. Plus dans l’air du temps, la Yaris Hybride 100h (100 ch et 3 CV) existe en finition France Affaires à 16 970 euros ou en France Business Affaires à 17 630 euros. Cette motorisation ne concerne que la carrosserie 5 portes comme en VP (voir aussi l’essai flash). Vous pourrez y ajouter un stage d’une demi-journée d’initiation à la conduite économique hybride au sein de l’Hybride Académie moyennant 200 euros.
Si Toyota est le seul à commercialiser une voiture hybride VU de 2 places, il est rejoint par un autre constructeur japonais, en l’occurrence Nissan qui peut se targuer d’avoir à son catalogue une Micra (4 m de long, 1 m3 de coffre) plus « française » que sa cousine Clio. La citadine nippone de l’Alliance est fabriquée dans l’usine au losange de Flins dans les Yvelines, et s’équipe d’un moteur essence « made in France », le 1.0 3-cylindres de 71 ch et 4 CV, pour 14 658,33 euros en Business Edition.
En diesel sur cette Micra, le 1.5 dCi est n’est commercialisé qu’en 90 ch et 5 CV à 20 690 euros, toujours en Business Edition. Notez qu’un nouveau 1.0 turbo essence de 100 ch et 5 CV est au catalogue à 15 658,33 euros et, moyennant 1 000 euros en plus, avec la boîte auto Xtronic. Il faudra ajouter à ces finitions Business Edition le montant du kit 2 places VP/VU facturé 682 euros chez Gruau (pose comprise et 930,42 euros avec le cache-bagages) ; chez Jocquin, ce kit est facturé 717,55 euros (1 025,38 euros avec le cache-bagages).
Micra, Fiesta ou Panda ?
Ford est tout aussi actif dans le domaine avec sa récente Fiesta en version Affaires VU 2 places uniquement en 3 portes (4,04 m de long et 1 093 l de coffre). Deux motorisations au programme, le diesel 1.5 TDCi en 85 ch et 4 CV, et l’essence 1.1 de 85 ch et 5 CV. La finition Trend est à 13 000 euros en essence et 14 500 euros en diesel ; la finition Business nécessite 250 euros en sus, correspondant aux radars de stationnement avant et arrière. Chez Fiat, la stratégie commerciale envers les professionnels consiste essentiellement à vendre un kit VP/VU sur la Panda (3,65 m de long et 870 l de coffre) ou la 500 (3,57 m et 550 l). En effet, le seul modèle Affaire VU au catalogue est la Tipo sur le segment des compactes (voir plus loin).
Le kit pour la Panda est facturé 934,50 euros chez Gruau et 945 euros chez Novetud. La seule motorisation qui a échappé à la norme Euro 6d et au cycle WLTP est le 1.2 de 69 ch et 4 CV à partir de 10 490 euros, décliné aussi en GPL (+ 1 500 euros). Le petit bicylindres 0.9 de 85 ch n’est proposé qu’en GNV à 15 990 euros en finition Lounge (coffre diminué à 845 l).

Fiat aligne la Panda et la 500
Notez que la version 4×4 de la Panda, fort utile dans les zones montagneuses pour les professionnels, peut aussi se décliner en VU avec les kits ci-dessus et uniquement avec le 0.9 de 85 ch et 5 CV à partir de 15 990 euros. La longueur totale passe à 3,71 m mais la capacité du coffre reste identique à 870 l.
De son côté, la 500 peut s’équiper d’un kit Gruau à 934,50 euros avec une tablette, ou d’un kit Novetud à 870 euros avec le cache-bagages. Toute la palette de motorisations et de finitions est accessible et l’accès à la gamme se fait en finition Pop avec le 1.2 de 69 ch et 4 CV à partir de 10 247 euros, ou avec le bicylindres 0.9 de 85 ch et 4 CV à 13 747 euros en Lounge.
Chez Volkswagen, la clientèle professionnelle désireuse de versions VU 2 places est bien lotie avec la Polo 5 portes Confortline Business Réversible. Celle-ci est disponible en essence 3-cylindres 1.0 TSI de 95 ch et 5 CV en boîte manuelle à 20 650 euros, ou en boîte double embrayage DSG7 5 CV à 22 270 euros. En diesel, c’est le 1.6 TDI en 80 ch et 4 CV ou en 95 ch et 5 CV qui officie ; le premier est facturé 23 040 euros, le second 23 500 ou 25 120 euros avec la boîte DSG7. Dans tous les cas, ces prix comportent, pour 13 à 48 mois, le stockage de la banquette arrière et des ceintures de sécurité. Le remontage de l’ensemble est facturé en sus. La longueur totale de cette citadine pointe à 4,05 m et son coffre affiche un excellent 1 125 l de capacité totale.

La Mini fait son entrée
Dernière impétrante récente dans cette catégorie des petites voitures, citadines et polyvalentes, la Mini en 3 et 5 portes (3,82 ou 3,98 m de long, 731 ou 941 l de coffre) s’affiche avec un kit VP/VU facturé 960 euros, sur la base de la finition Business Design destinée aux professionnels. La gamme débute en essence avec le 3-cylindres 1.5 de 102 ch et 5 CV en boîte manuelle à 19 360 euros en 3 portes (+ 780 euros en 5 portes), et en diesel avec le 1.5 de 95 ch à 20 640 euros. Mais attention, pas de fausse joie, ce sont les deux seuls modèles réversibles au catalogue de Mini, faites une croix sur la Mini Clubman break ou sur le Countryman SUV.
Dossier - Véhicules Société : les VP en mode VU
- Segments A et B – Citadines et polyvalentes : un large choix de modèles
- Segments B et C – SUV citadins et compacts : les SUV à l’assaut des gammes Société
- Essai flash – Toyota Yaris HSD : vive l’hybride !
- Segment C – Compactes et routières : un choix très franco-français
- Essai flash – Citroën C4 Cactus : elle ne pique plus