Marie-Florence Infantolino, dirigeante de Facilitis Recrutement
« Ce gestionnaire devra alors mettre en avant les compétences requises en fleet management : rigueur, organisation, sens du service et du relationnel. Ce sont les compétences clefs de sa fonction. On les retrouve dans les métiers du facility management et de la logistique. Elles sont donc transférables », expose Marie-Florence Infantolino, dirigeante de Facilitis Recrutement. Ce cabinet de recrutement s’est spécialisé dans le facility management et les métiers de l’immobilier.
« Pour mettre toutes les chances de son côté, poursuit-elle, le gestionnaire pourra aussi se former, au...
Marie-Florence Infantolino, dirigeante de Facilitis Recrutement
« Ce gestionnaire devra alors mettre en avant les compétences requises en fleet management : rigueur, organisation, sens du service et du relationnel. Ce sont les compétences clefs de sa fonction. On les retrouve dans les métiers du facility management et de la logistique. Elles sont donc transférables », expose Marie-Florence Infantolino, dirigeante de Facilitis Recrutement. Ce cabinet de recrutement s’est spécialisé dans le facility management et les métiers de l’immobilier.
« Pour mettre toutes les chances de son côté, poursuit-elle, le gestionnaire pourra aussi se former, au niveau licence et master, au management de l’immobilier et des services. Des établissements comme l’ESTP, l’IUT de Nantes ou l’université Marne-la-Vallée proposent des cursus. Dans le facility management, le niveau salarial sera, de plus, supérieur à celui de la gestion de flotte, avec un champ de prestations plus large et une part variable plus importante liée à la qualité de la prestation. Se former à la qualité, à la sécurité, à l’hygiène est aussi envisageable pour prétendre à ces postes », énumère Marie-Florence Infantolino.
Consultante senior pour Page Personnel, Cécile Conroux abonde dans ce sens : « Pour le gestionnaire, il y a aussi la possibilité de bifurquer vers les services généraux ou la gestion de flotte chez un loueur. Par rapport à un poste classique, les salaires sont moins bons au départ mais la polyvalence acquise peut aider à aller plus loin. Il y a aussi plus de risques de stagner mais cela offre d’atteindre des salaires de l’ordre de 60 000 à 70 000 euros bruts par an en développant des compétences managériales, en sachant gérer des équipes et en montrant de réelles capacités à négocier. Le gestionnaire de flotte devient alors directeur des services généraux avec sous ses ordres de nombreux salariés », conclut-elle (voir aussi le témoignage).
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