On parle donc aujourd’hui de trois phases complémentaires de la sécurité : la sécurité primaire ou la prévention de l’accident (tenue de route du véhicule, freinage, etc.) ; la sécurité secondaire ou la protection des occupants en cas de choc (ceintures, airbags, appuie-tête actif, etc.) ; et la sécurité tertiaire ou l’assistance auprès des occupants après l’accident (appel d’urgence).
Les technologies de l’intelligence artificielle tendent alors vers le concept global de sécurité « intégrée » avec, par exemple, les systèmes de pilotage automatique, utilisés par ailleurs pour la « voiture autonome » (voir aussi notre article).
Sans oublier...
On parle donc aujourd’hui de trois phases complémentaires de la sécurité : la sécurité primaire ou la prévention de l’accident (tenue de route du véhicule, freinage, etc.) ; la sécurité secondaire ou la protection des occupants en cas de choc (ceintures, airbags, appuie-tête actif, etc.) ; et la sécurité tertiaire ou l’assistance auprès des occupants après l’accident (appel d’urgence).
Les technologies de l’intelligence artificielle tendent alors vers le concept global de sécurité « intégrée » avec, par exemple, les systèmes de pilotage automatique, utilisés par ailleurs pour la « voiture autonome » (voir aussi notre article).
Sans oublier que grâce à la capacité de traitement des données recueillies par un nombre toujours plus grand de capteurs, un véhicule d’aujourd’hui traite désormais autant d’informations qu’un Airbus des années 90…