
Après le renouvellement du XC60 l’année dernière (voir notre essai), basé sur la plate-forme SPA (Scalable Product Architecture) du grand XC90 (voir notre brève), c’est au tour de la version break V60 de se dévoiler pour une commercialisation à l’été prochain.
Volvo déroule donc son vaste programme de renouvellement de l’intégralité de sa gamme. Et pour ce qui est de ces carrosseries plus classiques break, break surélevé Cross Country et berline classique, le constructeur ne néglige pas sa clientèle traditionnelle d’Europe du Nord et du continent américain. Sans oublier le marché chinois où les versions à empattement allongé ont toujours du succès.
Pas de surprise pour le style
Pas de surprise donc pour le style, c’est bien une Volvo V90 ramenée à des dimensions plus communes en Europe du Sud : 4,76 m de longueur pour un coffre généreux de 529 l (1 364 l banquette arrière abattue). Le design intérieur reprend bien entendu la planche de bord si réussie du XC60, elle-même directement inspirée du XC90.
Les motorisations sont bien connues dorénavant mais Volvo surprend à nouveau avec une offre uniquement diesel pour le lancement. L’accès à la gamme débute donc avec le 2.0 l D3 de 150 ch (114 g, 4,3 l/100 km en BVM ; 121 g, 4,6 l en BVA Geartronic). Un moteur parfaitement dimensionné selon nous pour un poids de 1,7 t à vide ; comptez 43 790 euros TTC en BVM et 45 990 euros en BVA Business Executive.
Diesel pour commencer
Une motorisation complétée par le plus puissant D4 de 190 ch (119 g, 4,5 l) commercialisé au tarif de 49 290 euros en Business Executive. Fin 2018, le 2.0 l de 254 ch sera proposé en T5 et sur deux versions hybrides Twin Engine, pas moins ! Compléteront l’offre à l’hiver prochain : le T8 de 390 ch et le T6 de 340 ch, une nouveauté.