Tous les tarifs s’entendent TTC, hors aides fiscales éventuelles et « à partir de ».
Le n° 1 de la catégorie risque bien de le demeurer en 2021 car ce Peugeot 3008 (4,45 m de long) est tout juste entré dans sa deuxième phase, celle du restylage à mi-parcours. Des modifications cosmétiques donc. Et pour les motorisations essence, la reconduction en Active Business du 3-cyl. 1.2 PureTech de 130 ch/140-144 g à 31 150 euros et à 146-149 g en boîte auto à 33 500 euros. En complément pour ce 3008, le 1.6 PureTech de 180 ch/156-159 g est toujours au programme avec sa boîte auto EAT8, pour 39 650 euros en GT Line.
3008, C5 Aircross, Grandland X
Chez ...
Tous les tarifs s’entendent TTC, hors aides fiscales éventuelles et « à partir de ».
Le n° 1 de la catégorie risque bien de le demeurer en 2021 car ce Peugeot 3008 (4,45 m de long) est tout juste entré dans sa deuxième phase, celle du restylage à mi-parcours. Des modifications cosmétiques donc. Et pour les motorisations essence, la reconduction en Active Business du 3-cyl. 1.2 PureTech de 130 ch/140-144 g à 31 150 euros et à 146-149 g en boîte auto à 33 500 euros. En complément pour ce 3008, le 1.6 PureTech de 180 ch/156-159 g est toujours au programme avec sa boîte auto EAT8, pour 39 650 euros en GT Line.
3008, C5 Aircross, Grandland X
Chez Citroën, le C5 Aircross (4,50 m de long) poursuit sur sa lancée avec le 1.2 PureTech de 130 ch/146-148 g à 29 650 euros en Business et à 31 700 euros avec la boîte EAT8 (154-155 g). Le 1.6 PureTech de 180 ch/156-160 g en boîte auto uniquement est à 36 500 euros en Shine. Même stratégie de motorisations chez Opel avec le Grandland X (4,48 m de long) qui partage sa plate-forme PSA avec le 3008 et le C5 Aircross. On retrouve donc le 3-cyl. 1.2 turbo-essence de 130 ch/146 g à 32 500 euros en Élégance Business et à 34 300 euros avec la boîte auto (151 g). Le 1.6 Turbo de 180 ch/164 g et boîte auto est à 36 800 euros, toujours en Élégance Business.
Chez Renault, le Kadjar (4,45 m de long) en fin de vie sera remplacé en 2021. Pour l’heure, l’offre essence s’organise autour du 1.3 TCe de 140 ch/141 g à 30 200 euros en Business. La boîte EDC fait baisser le CO2 à 139 g mais nécessite 2 000 euros supplémentaires. Ce 1.3 TCe est aussi proposé en 160 ch/142 g et EDC pour 35 700 euros en Intens uniquement.
Ce changement de génération est aussi prévu chez Nissan pour le Qashqai actuel (4,39 m de long) également remplacé en 2021. On retrouve le 1.3 DIG-T de Renault-Daimler de 140 ch/154-162 g à 28 900 euros en Business Edition. Il est complété par sa version de 160 ch/154 g à 30 650 euros, toujours en Business Edition, ou à 32 350 euros avec la boîte double embrayage DCT (156 g).
Toujours chez les généralistes, Volkswagen fait valoir sur ce segment son T-Roc (4,23 m de long). Un SUV emmené en Lounge Business par l’incontournable 3-cyl. 1.0 TSI de 110 ch/118 g à 27 210 euros, complété par le 4-cyl. 1.5 TSI Evo de 150 ch/140-162 g à 29 890 euros. La boîte DSG7 est facturée 2 020 euros pour 150-165 g.
Les cousins Volkswagen
À cheval sur ce segment des SUV compacts, il faut citer le Tiguan (4,49 m de long) restylé à mi-vie cet été. Qui fait toujours confiance au 1.5 TSI de 130 ch/142-160 g à 35 960 euros en Life Business, à 37 240 euros en 150 ch et boîte manuelle (150-173 g) ou à 39 260 euros en boîte DSG7 (155-180 g). Passons au cousin du T-Roc, le Seat Ateca (4,36 m de long). Ce dernier reprend en Style Business le 1.0 TSI de 115 ch/148-157 g à 28 090 euros et le 1.5 TSI de 150 ch/145-157 g à 29 690 euros ou à 30 650 euros avec la boîte DSG7 à 151-163 g.
Autre membre de cette triplette, le Skoda Karoq (4,38 m de long) suit cette logique avec en Business le 1.0 TSI 116 ch/131-161 g à 29 320 euros, complété par le 1.5 TSI de 150 ch/128-164 g à 31 330 euros en boîte manuelle ; avec la boîte DSG7, il passe à 33 110 euros et 128-161 g.
Même si sa longueur de 4,63 m a franchi la « norme » du segment, le Ford Kuga de troisième génération se bat contre les SUV compacts généralistes 3008 ou Tiguan. Sa gamme débute avec le 1.5 turbo-essence EcoBoost de 120 ch/152 g à 27 000 euros en Trend, complété par le 150 ch/155 g à 34 400 euros en ST-Line Business.
La carte du premium
Passons dans le premium avec BMW et son X1 (4,44 m de long) restylé, tout comme sa version coupé X2 (4,36 m). En Business Design, le X1 sDrive18i est à 37 450 euros avec son 3-cyl. 1.5 turbo-essence de 140 ch/148-165 g. Avec le 2.0 turbo-essence, sa puissance passe à 192 ch/155-172 g pour 44 050 euros. Sa version xDrive20i et sa transmission intégrale en boîte auto font passer le CO2 à 165-183 g pour 46 050 euros. Le X2 reprend cette gamme de groupes motopropulseurs en Business Design : sDrive18i à 37 600 euros (147-165 g), sDrive20i à 45 200 euros (153-172 g) et xDrive20i à 47 200 euros (163-182 g).
Mercedes n’est pas en reste avec son récent GLA (4,41 m de long) qui reprend les motorisations essence des Classe A/B et CLA. Le GLA 200, avec le 1.3 turbo de 163 ch/148-168 g et boîte DCT-7 obligatoire, est à 42 300 euros en Business Line. Il est suivi par le GLA 250 4Matic avec le 2.0 turbo-essence de 224 ch/171-190 g à 51 000 euros en AMG Line.
Autre acteur du premium, Audi et son Q3 (4,48 m de long). En Business Line, ce Q3 s’équipe du 1.5 TFSI de 150 ch à 147-164 g en boîte manuelle (38 950 euros) et à 153-167 g en boîte S-Tronic 7 grâce à l’hybridation légère de 48 V ajoutée à ce 150 ch (41 050 euros). Le 2.0 TFSI de 190 ch est obligatoirement en transmission Quattro à 197-209 g (46 460 euros en Business Line) et sa version de 230 ch/194-207 g pointe à 49 200 euros. La carrosserie coupé Q3 Sportback (4,45 m de long) nécessite pas moins de 3 000 euros supplémentaires pour des CO2 identiques.
Toujours dans le premium, citons Volvo et son XC40 (4,42 m de long). Qui fait valoir ses motorisations très sobres en Business en 3-cyl. T2 de 129 ch/157-173 g en boîte manuelle à 34 000 euros et à 38 400 euros en boîte auto Geartronic 8 à 165-179 g. Le 4-cyl. 2.0 turbo-essence T3 de 163 ch est bien placé en CO2 malgré sa puissance avec 157-173 g en boîte manuelle (36 250 euros) et 165-179 g en boîte auto (38 250 euros). Sa récente déclinaison en B4 de 197 ch avec une hybridation légère de 48 V permet un excellent 161-169 g, seulement disponible à 44 600 euros en R-Design.
Les gammes coréennes
Le SUV compact Sportage du coréen Kia récupérera entre autres dès 2021 le récent 1.6 T-GDi turbo-essence à hybridation légère de 48 V en 150 ch récemment commercialisé par Hyundai sur son Tucson (4,50 m de long). Un SUV pour lequel il constitue un accès à la gamme compétitif : 29 900 euros en Intuitive à 151-156 g. La boîte double embrayage DCT-7 offre un CO2 à partir de 147 g mais son prix passe à 35 500 euros en Creative.
De son côté, Jeep mise toujours sur son Compass (4,39 m de long) en Business avec le 1.3 GSE T4 en 130 ch à 152-164 g pour 31 000 euros, ou en 150 ch/153-165 g à 33 000 euros.
Signalons aussi le Dacia Duster (4,34 m de long) et sa nouvelle gamme restylée, avec le 3-cyl. 1.2 turbo-essence TCe de 90 ch/138 g à 12 490 euros en finition dépouillée Access. Sa déclinaison en 100 ch GPL émet 129 g pour un prix identique. Sa version de 130 ch/141 g débute à 16 900 euros en finition Essentiel un peu mieux équipée. Il offre aussi d’accéder à la version 4×4 à 140 g pour 2 000 euros supplémentaires. Enfin, il se décline en 150 ch/141 g et traction avant à 18 500 euros en finition Confort relativement bien équipée, avec 2 000 euros à ajouter pour la version 4×4.
Suzuki est aussi un spécialiste du 4×4 et propose toujours son S-Cross (4,30 m de long) avec le 1.4 Boosterjet à hybridation légère de 48 V en 129 ch pour 127-132 g en 4×2 (24 340 euros) et 139-144 g en 4×4 (27 540 euros).
Enfin, le récent Mazda CX-30 (4,39 m de long) se dote du 2.0 Skyactiv essence à hybridation légère. Qui aligne, en Business Executive, 122 ch/141 g à 29 300 euros ; sa déclinaison plus musclée de 180 ch n’est qu’à 133 g et 31 600 euros.


Le point sur la fiscalité
Pour le choix des modèles dans ce dossier sur l’offre essence en VP, nous avons retenu un critère : un CO2 « raisonnable » jusqu’à 160 g/km. Au-delà de ce seuil en 2021, le malus devrait être supérieur à 1 900 euros et la TVS, à 1 200 euros (hors hybrides essence). Ce seuil permet de faire figurer dans ce dossier tous les SUV compacts du segment C.
Par ailleurs, au 1er janvier 2021, la récupération de la TVA sur l’essence sera égale à celle sur le gazole, soit 80 %, alors que le prix de ces deux carburants est souvent le même. Reste un rendement énergétique en volume supérieur de 20 % environ pour le diesel par rapport à l’essence. Ce qui n’a pas empêché les constructeurs de supprimer l’offre de diesel dans les segments A-B et de procéder progressivement et pareillement en 2021 sur le segment C, hors SUV. Notez enfin que les hybrides légers sont exonérés de TVS sur 36 mois si le CO2 est égal ou inférieur à 120 g.
Dossier - VP essence (segments A, B et C) : les gammes pour les flottes
- VP essence du segment A – Petites citadines : un choix restreint
- VP Essence – Segment B – Citadines polyvalentes : l’offre s’élargit
- VP Essence – Segments A-B – SUV citadins polyvalents (jusqu’à 4,30 m de longueur) : l’offre se fait pléthorique
- VP Essence – Segment C – Berlines compactes et breaks : un très large choix
- VP Essence – Segment C – SUV compacts (4,30 m à 4,50 m) : généralistes ou premium au choix