« À l’occasion de cet événement, les différents acteurs se sont aperçus que les évolutions de prix pouvaient être importantes et rapides », explique Agnès van de Wall, pour Arval.
Face à cette crise, les loueurs de longue durée ont eu beau jeu de rappeler qu’ils enregistraient les pertes pour leurs clients. « Notre valeur ajoutée, insiste Agnès van de Wall, porte sur l’évaluation du prix d’un véhicule à 3 ou 5 ans et sur le risque de dépréciation que nous prenons à la place des entreprises qui font appel à nos services. » Pour ALD non plus, la crise financière de 2008 et 2009 n’a pas été anticipée par les analystes.
D’autres événements...
« À l’occasion de cet événement, les différents acteurs se sont aperçus que les évolutions de prix pouvaient être importantes et rapides », explique Agnès van de Wall, pour Arval.
Face à cette crise, les loueurs de longue durée ont eu beau jeu de rappeler qu’ils enregistraient les pertes pour leurs clients. « Notre valeur ajoutée, insiste Agnès van de Wall, porte sur l’évaluation du prix d’un véhicule à 3 ou 5 ans et sur le risque de dépréciation que nous prenons à la place des entreprises qui font appel à nos services. » Pour ALD non plus, la crise financière de 2008 et 2009 n’a pas été anticipée par les analystes.
D’autres événements difficilement prévisibles peuvent fausser les résultats. Ainsi, la cote d’amour d’un véhicule peut se retourner sans qu’aucun signe ne l’annonce. Autre exemple, au milieu des années 2000, la fermeture du marché algérien aux VO d’origine étrangère a chahuté le marché. « La marge d’erreur est souvent liée aux aléas et aux à-coups du marché automobile, mais elle est plus élevée lorsque qu’elle provient de phénomènes économiques ou d’une évolution de la fiscalité », précise Gilles Bellemère.