Avec des volumes de ventes très faibles et un marché de l’occasion balbutiant, l’extrapolation statistique comporte davantage de risque d’erreur. « Nous sommes plus prudents lorsque nous établissons les VR des modèles électriques, reconnaît Arnaud Duchemin. En revanche, la situation est radicalement différente pour les hybrides qui représentent 3 % des ventes sur le marché du neuf et qui ne souffre d’aucune contrainte en matière d’utilisation. »
Constat semblable pour ALD Automotive : si le loueur valorise les hybrides de la même manière que les thermiques, l’exercice se complique avec la technologie électrique. Difficile en effet...
Avec des volumes de ventes très faibles et un marché de l’occasion balbutiant, l’extrapolation statistique comporte davantage de risque d’erreur. « Nous sommes plus prudents lorsque nous établissons les VR des modèles électriques, reconnaît Arnaud Duchemin. En revanche, la situation est radicalement différente pour les hybrides qui représentent 3 % des ventes sur le marché du neuf et qui ne souffre d’aucune contrainte en matière d’utilisation. »
Constat semblable pour ALD Automotive : si le loueur valorise les hybrides de la même manière que les thermiques, l’exercice se complique avec la technologie électrique. Difficile en effet de dégager de grands modèles mathématiques quand les volumes de vente sont encore marginaux sur le marché du neuf et quasiment inexistants sur celui de l’occasion. Toutefois, les véhicules électriques apparaissent comme richement dotés en équipements. Mais d’après ALD Automotive, il est encore trop tôt pour savoir si ces équipements pourront être valorisés lors de la revente.
Pour les entreprises comme pour les particuliers qui achètent des véhicules d’occasion, l’autonomie limitée des moteurs électriques reste donc dissuasive. Et pourtant, ils répondent à la plupart des usages quotidiens. Les constructeurs ont donc un long travail d’évangélisation devant eux pour que l’électrique trouve toute sa place et arrive en masse sur le marché de l’occasion.